• L’Opportuniste: parfois, c’est une énigme. Même quand il parle, des fois, je comprends pas. Et puis, il aime les maths. Je comprends pas, ça non plus. C’est intriguant. Par contre, il aime la bière. Et ça, je comprends ! C’est très intéressant !
• Gikou Mouria: le calme incarné ! Je ne l’ai jamais vu emmerder qui que ce soit ni même s’énerver ! Et voilà, du coup, je me demande, qu’est-ce que ça donne quand Moe s’énerve ? Est-ce que ça serait la colère dévastatrice de Hulk ou bien le charisme d’All Might ? Ou le pétage de plomb de Big Mom ?!
• Twi D. Kopecz aka Nagouf: c’est très sympa de parler avec lui, j’aime bien et en plus on se fend la poire ! C’est quelqu’un d’intéressant, il a des opinions pas toujours communes, c’est rafraîchissant et ça permet de débattre. Puis il est cultivé, on apprend plein de choses à son contact ! Après, ses goûts musicaux m’intriguent. Parfois, je les comprends, mais souvent, j’me demande comment il fait pour écouter ce qu’il écoute. C’est pas nul, juste vraiment bizarre c:

• Hancock: elle rassemble quelques traits de la personnalité hystérique (ça ne fait pas d’elle une hystérique attention). C’est un personnage assez théâtral, dans sa manière d’être et de s’adresser aux gens, d’ailleurs, on pourrait presque applaudir sa performance quand elle a introduit Luffy sur un navire du GM (hihi). Puis, il y a cette pose qu’elle fait là, quand elle pointe du doigt. Les personnalités hystériques sont souvent dans l’exagération, et l’imaginaire s’imprègne dans la réalité. Plus concrètement, quand il s’agit de Luffy, elle sur-interprète ses paroles, les comprenant comme des déclarations d’amour ou encore, une demande en mariage. Ca se reflète aussi dans son attitude envers Nami et Robin, qu’elle considère à tort comme des rivales. Sinon, le traumatisme qu’elle a vécu par le passé a nécessairement des effets néfastes, encore aujourd’hui. Elle en est pas au syndrome de stress-post traumatique, mais presque...
• Big Mom: Hehe oui ! Je ne peux pas citer exactement son trouble, mais elle a un sérieux problème, une énorme grain, personne n’a besoin de faire psycho pour le voir ! Elle gère très mal la frustration et la contrarier coûte cher. Et puis il n’y a qu’à voir les crises cataclysmiques qu’elle tape pour capter que ça tourne vraiment pas rond. Elle va jusqu’à tuer et tout détruire en perdant complètement le contrôle. Son cas sonne presque comme du bullshit tellement c’est grave. Puis, je ne parle pas de sa terrible addiction au sucre, c’est un miracle que le diabète ne l’ait pas tuée ! Aussi, elle reste profondément marquée, voire affectée par son passé, comme on peut le voir avec Mother Caramel (c’est sa plus grosse faiblesse) ou même dans son projet de gigantification, à croire qu’elle fait une fixette sur les géants. Bref, elle a des problèmes à régler !
• Sanji: si on regarde son amour pour les (jolies) femmes autrement qu’une démonstration lumineuse de l’humour japonais, on touche quelque chose d’intéressant (enfin, surtout flippant). Déjà soyons clair, il ne s’agit pas d’une “personnalité perverse”, ça c’est un autre délire. Non, c’est juste un porc. N’oublions pas que dans les mangas, le saignement de nez est une manière détournée de monter l’excitation (ailleurs que sous la ceinture donc). Si on s’arrête un moment sur les torrents de sang que nous a lâché Sanji, ça devient un peu dégueu quand même...il faut que je précise, en clinique, un comportement normal à la base (aimer les femmes) peut devenir pathologique quand il est excessif (frôler la mort à la vue d’une belle femme). Heureusement que c’est un très gentil gentleman, parce qu’il aurait pu mal tourner c:

• Le curry de la Marine: c’est le premier plat qui m’est venu à l’esprit en lisant la question ! Puisqu’il a l’air si fameux, ça m’intrigue, puis c’est quand même une institution de la cuisine Japonaise ! D’ailleurs, l’épisode du curry fait partie de mes favoris, même si c’est un hs. Un jour, je tenterai la recette ! L’histoire de la pomme comme ingrédient secret me rend curieuse.
• La cuisine volcanique: la cuisson change nécessairement la saveur d’un plat, il suffit de manger une pizza cuite au four et une autre cuite au feu de bois pour comprendre ! Du coup, une cuisson au dessus d’un volcan, ça m’interroge et j’ai envie d’y goûter, même si d’un côté, j’me dis que ça peut être dangereux (vous savez, le souffre, toussa…).
• Les biscuits de Garp: j’ai toujours fait une fixette sur ces fichus biscuits. Je me demande quel genre de goût ils peuvent bien avoir. Personnellement, j’y vois bien un petit mélange sucré-salé, un peu à l’image de l’aigre-doux.

• l’Awa Awa no Mi (Kalifa): c’est franchement bidon comme pouvoir...très naze même. Transformer les gens en bloc de savon, pourquoi pas, m’enfin, il y a plus classe. Celui-ci, je le donnerais à Trump. Un FDD de merde pour une tartine de merde, c’est parfait.
• le Toge Toge no Mi (Paula): clairement, y’a pas moyen que je sacrifie les vacances à la mer pour un truc pareil. Je le vendrais au plus offrant.
• Le Shari Shari no Mi (Sharinguru): voilà, alors lui j’viens de le découvrir. Il peut transformer ses bras et ses jambes en roues. C’est tellement nul que j’en reste pantoise. Je le donnerais à quelqu’un qui ne peut plus marcher, au moins ça lui sera utile !

Cela dit, il y a aussi de bons personnages, des femmes fortes, au caractère bien trempé comme Nami, Kureha, Bell-mère, Bonney, ou encore Otohime (malgré son côté pleurnicharde, elle est tout de même l’instigatrice d’une lutte sociale et politique, ce n’est pas rien) et j’en passe. Quant à leur importance, il n’y a pas franchement grand chose à dire. Cela varie en fonction de la place qu’elles tiennent dans l’univers d’OP, les choses sont cohérentes à ce niveaux là. Certains diront que les femmes sont sous représentées dans One Piece, c’est vrai que proportionnellement, elles sont moins nombreuses que les hommes. Tout comme dans notre réalité, moins de femmes pirates, moins de femmes dans les armées. Concernant le rôle qu’elles tiennent, il est terriblement classique: ce sont toujours des personnages de soutien. Pour ainsi dire, elles ont très rarement le premier rôle. Et quand elles l’ont, elles sont en détresse. Parfois, elles servent aussi à mettre un personnage masculin en valeur, comme par exemple Tashigi, sauvée par Zoro contre Monet. Bref, le traitement des femmes dans OP est loin d’être parfait, mais il n’y a pas non plus de quoi faire un scandale !